Vernissage de l’exposition Oscillation
au Centre Culturel Canadien

15 octobre 2025

Centre Culturel Canadien
130, rue du Faubourg Saint-Honoré
75008 Paris

De 18h à 21h
Entrée libre (jusqu’à 20h30)
En présence des artistes et des commissaires

Invitation au vernissage de l’exposition Oscillation le 15 octobre 2025 de 18h à 21h au Centre Culturel Canadien à Paris
Artistes :
Lorella Abenavolli, Brice Ammar-Khodja, Alexandra Bachmayer, Jacqueline Beaumont, Samuel Bianchini, Marie-Pier Boucher, Jean-Michaël Celerier, Yiwen Chen, Maria Chekhanovich, Beth Coleman, Audrey Coulombe, Arthur Enguehard, Maude Girault, Matthew Halpenny, Alice Jarry, Raphaelle Kerbrat, Lauren Knight , Anne-Marie Laflamme, Guillemette Legrand, Annie Leuridan, Corentin Loubet et al., Alireza Moezi, Aurélie Mosse et al., Vanessa Mardirossian, Joel Ong, Guillaume Pascale, Asa Perlman, Ana Piñeyro, Olivain Porry, Suarjan Prasai, Ramin Sedagheti, Jane Tingley, Philippe Vandal, Félix Vaneste, Lee Wilkins, Aline Zara.
Résumé
Au sujet de l’oeuvre « Claviiiiiier, Prototype #1 » réalisée en 2025 :
- La recherche et développement technologique revient à Félix Vanneste, sous la supervision de Samuel Bianchini, Christian Duriez, Kanty Rabenorosoa et Pierre Renaud, dans le cadre d’un post-doc mené au sein du groupe Reflective Interaction d’EnsadLab (laboratoire de l’École des Arts Décoratifs, Paris, Université PSL) et dans le cadre de l’AS1 « Matériau, architecture et inteligence incarnée ». Damien Comolli-Miramont, jeune diplômé de l’ENSAD, a collaboré au design.
- La description :
Sur un socle ou une étagère sont disposés six petits modules noirs évoquant les touches du clavier d’un instrument de musique. Mais, ici, nul interprète ; régulièrement une touche se lève, se courbe, se tord, avant de se reposer en tapant sur son support. Au pied de ces modules, l’appareil qui les active et les contrôle est donné à voir et à attendre : l’ensemble du dispositif électronique et pneumatique a été savamment intégré dans une boite transparente et ses clapets résonnent lorsqu’ils se ferment ou s’ouvrent pour libérer l’air de cet instrument à vent d’un nouveau genre. Mais, ici, il s’agit avant tout de composer avec la matière et ses mouvements, avec de petits muscles artificiels élémentaires (de type McKibben) appareillés de mousses dont les structures mêmes ont été programmées pour conditionner leurs déformations. Entre installation artistique et démonstrateur technologique, ce premier dispositif explore le potentiel d’une robotique déformable de plus en plus prometteuse.
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